« Abidjan, un ghetto d’ordures et de sexe vite fait, mal fait. Une photographe redonne beauté aux damnées de la prostitution. Des images fortes et un film, Little Go girls. Éliane de Latour est anthropologue de formation et de conviction, il n’y a qu’a regarder ses photos pour être convaincu de sa compétence et de… son art. Une définition de l’art? mettre en abîme nos certitudes. ».

Des mots de minuit – La photo parlée – Remy Roche

Éliane de Latour met en question avec lucidité son rôle de cinéaste, elle porte une réflexion exigeante sur la responsabilité de celui ou celle qui tient la caméra vis-a-vis de ceux ou celles qu’elles capturent.

Le Monde – Thomas Sotinel

« Filmés avec respect, ces beaux et puissants personnages illuminent ce passionnant documentaire à l’esthétique soignée qui ne saurait laisser indemne ses spectateurs. Le meilleur du cinéma engagé. »

Jeune Afrique – Renaud de Rochebrun

« Un film comme un long poème visuel tourné vers les visages et les corps silencieux. Elles se montrent en ne se racontant pas ; elles se racontent en se montrant.»

Radio Nova – Bintou Simporé

« Si elle a un beau passé de documentariste, texte, photo, film, c’est qu’Éliane de Latour anthropologue, s’intéresse d’abord à l’humain… Maintenant elle fictionne légèrement ses sujets, c’est le cas de Little Go girls. C’est coloré, chaud, émouvant. »

Les Inrocks

« Les couleurs resplendissent dans l’ombre, la partition d’Eric Thomas est superbe. Une plongée lumineuse au coeur des ténèbres. »

Le Canard enchaîné – D.F.

«Éliane de Latour, anthropologue et photographe, fait du destin de quelques filles de ghetto d’Abidjan, entre sexes tarifés et quête quasi impossible d’autonomie, un douloureux manifeste pour la liberté́. »

Télérama – Guillemette Odicimo